Les statistiques démontrent que 40%, environ, des hommes éprouvent des difficultés sexuelles à un moment donné de leur vie. Ces pannes, qui surviennent tout d’un coup ou insidieusement, sont dues, essentiellement, à un épuisement nerveux causé par les stress psychologiques et biologiques.
Le stress est, toujours, double, généralement d’ordre psychologique et d’ordre biologique.
– Les stress psychologiques sont la conséquence d’une méconnaissance des mécanismes du Penser holistique, magistralement explicité par le Professeur Grégoire JAUVAIS dans nombre de ses ouvrages mais plus particulièrement dans LA BIBLE DU SUCCES (1).
Sous l’effet de cette méconnaissance, qui entraîne une non maîtrise des sentiments, les sentiments négatifs, débridés, entraînent, alors, une programmation subconscientielle anti-vitale, qui use la force vitale intrinsèque qui sous-tend tous les processus bio-chimiques, donc enzymatiques, circulatoires, énergétiques, etc. Il en résulte un affaiblissement et un dysfonctionnement des processus métaboliques, neuro-endocriniens, en particulier, qui se traduisent, notamment, par les pannes sexuelles.
– Les stress biologiques sont la conséquence d’une méconnaissance des fonctions nutritives et de l’alimentation spécifique et naturelle (ortho-biologique), dont l’énergie extrinsèque est catalysée et utilisée (métabolisée) par la force vitale intrinsèque de l’Etre vivant. Non seulement une alimentation fausse (anti-spécifique et dénaturée) ne nutrit pas, n’apporte pas d’énergie vitale, mais en vole à l’organisme, lequel se met, alors, en dépensivité pour tenter d’éliminer les déchets digestifs et les résidus métaboliques résultant, en grande quantité, de la consommation de ces faux aliments, étio-morbido-pathogènes, radiodévitalisants (bio-électroniquement oxydants).
Or tout stress, qu’il soit d’ordre psychologique ou d’ordre biologique (somatique), induit une production excessive de cortisol, un redoutable poison qui fait chuter le taux physiologique de testostérone chez l’homme et de progestérone-testostérone chez la femme (hormone mâle de la libido), notamment.
C’est dire que l’anxiété ou la peur n’est pas la seule cause des pannes sexuelles.
Pour un homme, un trouble de l’érection est, très souvent, un problème grave, induisant, généralement, une peur panique. A son tour, cette peur induit une production accrue d’adrénaline (hormone de combat) qui va entraîner un blocage des mécanismes physiologiques produisant l’érection. Et plus l’homme fera un effort volontaire pour se mettre en érection, forcément basé sur l’anxiété et la peur, et plus il se mettra en impuissance sexuelle, parce que l’érection n’est pas la conséquence d’un acte volontaire (du Conscient) mais celle d’une réaction émotionnelle (du Subconscient).
Tout sentiment négatif (dévalorisation, soucis, peurs, colère, haine, ressentiments, culpabilité, etc.) programme à l’envers le Subconscient réactionnel, concrétiseur (somatisant) de l’Etre vivant et entraîne, conséquemment, une dévitalisation favorisant la panne voire l’impuissance sexuelle.
Les solutions
Il existe de mauvaises et de bonnes solutions :
a) les mauvaises solutions : les médicaments chimiques, dits vasodilatateurs alphabloquants, par exemple, agissent au niveau des corps caverneux mais ne suppriment pas la cause profonde. Ils peuvent aider, mais au prix d’une certaine iatrogénicité (effets secondaires).
Les médicaments chimiques dits désinhibiteurs centraux peuvent aider à supprimer l’inhibition psychologique ou le mécanisme de certains anti-dépresseurs sérotoninergiques chez les sujets plus ou moins dépressifs mais, là encore, ils ne suppriment pas la cause réelle du problème. Certains médecins vont, même, jusqu’à prescrire des injections de vasodilatateurs chimiques directement dans le corps caverneux du pénis chez les sujets qui n’arrivent pas à éliminer leur inhibition. Ils n’agissent, là, qu’au niveau du symptôme et ne résolvent pas le problème.
b) les bonnes solutions: elles sont, à la fois, physiques, biologiques et psychologiques, c’est-à-dire naturopathiques. Parmi ces techniques naturelles de santé, dites majeures, citons :
1°) la culture physique de santé. Elle doit être intense, essoufflante, oxygénante, transpirante. On devra la pratiquer à raison de 5 séances par semaine, d’une durée de 30 à 45 minutes (jamais plus longtemps sous peine d’entrer en état de stress).
Je le redis : travail musculaire intense, par groupe musculaire cultivé à raison de 3 à 6 séries de 15 à 20 répétitions, avec des poids et haltères ne permettant pas de faire plus de 20 répétitions.
Les contractions musculaires intenses et rythmées sont virilisantes, c’est-à-dire anabolisantes, oxygénantes, vascularisantes, dynamisantes. Elles induisent un sentiment de force, de puissance et d’assurance en soi. On insistera sur le travail des muscles constituant les cuisses, les fessiers et, surtout, les lombaires, sachant qu’un tassement des disques inter-vertébraux (par suite de traumatismes ou d’arthrose) des zones lombosacrées peuvent entraîner des pincements et, donc, des « courts-circuits » au niveau des nerfs ortho et para-sympathiques innervant le trophisme et la fonction des gonades, du pénis. Cette culture physique de santé, régénérante, devra débuter par des mouvements d’assouplissement et devra obligatoirement être terminée par des exercices d’élongation et de détassement vertébral à l’espalier suédois, notamment.
2°) l’alimentation spécifique et naturelle : c’est la seule qui soit hyper-dynamisante parce qu’ hyper-vitalisante, selon les indications et les Menus de Santé décrits dans le livre du Professeur Grégoire JAUVAIS : « 100% ANTI-RÉGIME ».
Sans cette remise en forme du système nerveux (neuro-endocrinien), sans cette augmentation du potentiel vital, il est vain de vouloir supprimer les pannes sexuelles, parce que si, pour entrer en érection, il suffit d’une simple émotion positive par contre pour maintenir l’érection à un niveau d’intensité satisfaisant et durant le temps nécessaire il faut du tonus nerveux, beaucoup de tonus neuro-hormonal. Et seuls les nutriments des aliments spécifiques et naturels, bien mastiqués, bien digérés, bien assimilés, peuvent recharger les glandes endocrines, sur une base ortho-psychologique.
3°) la repositivation mentale : il s’agit là d’un procédé ortho-psychologique visant à transmuer les sentiments négatifs, dévitalisants, étio-morbido-pathogènes, en sentiments contraires, positifs, étio-hygiéno-vitalogènes.
Les gens, en règle générale, n’ont aucune idée de la dévitalisation et des altérations organiques causées par les sentiments négatifs entretenus, véritables poisons mortigènes par le fait qu’ils font collapser non seulement le champ radiant de la force vitale extrinsèque apportée par les nutriments mais encore, ce qui est plus grave, celui de la force vitale intrinsèque innée qui préside aux diverses catalyses métaboliques. Ils font tourner à l’envers le moteur vital. Bref, ils agissent à l’instar des trous noirs de l’Univers, transformant l’énergie en entropie, en pathologies.
Par exemple, la transmutation des sentiments d’anxiété et de peur (un des éléments dévirilisants) en sentiments contraires caractérisés par la confiance en soi, par la certitude absolue d’être à la hauteur de toutes situations, en toutes circonstances, fait tourner à l’endroit le moteur vital et libère, ainsi, l’homéostasie de la force vitale et, donc, les potentialités neuro-végétatives présidant à l’érection ; autrement dit, elle supprime l’inhibition, le blocage induisant la panne de la physiologie sexuelle.
4°) les compléments nutritionnels spéciaux : il n’existe pas de substances nutritionnelles à la fois aphrodisiaques et non nocives, induisant une érection en l’espace de 20 à 30 minutes. Seuls des médicaments toxiques sont capables d’induire un tel effet justement parce qu’ils sont toxiques et parce qu’ils entraînent, notamment, une congestion autodéfensive de la sphère génitale et sexuelle agressée, stressée. II s’agit, effectivement, d’un stress organique pouvant même entraîner des arrêts cardiaques par collapsus du champ radiant de la force vitale intrinsèque.
Plus sérieusement, il existe des nutriments spéciaux qui rechargent les accumulateurs neuro-endocriniens en énergie vitale et qui dynamisent, en même temps, la libido après 10 à 20 jours de prises quotidiennes à raison de 50 à 100 gouttes 2 fois par jour en 2 prises au cours de la journée.
J’ai, personnellement, essayé sur moi et sur un grand nombre de mes clients plusieurs produits de ce type. Et, à ce jour, je n’en ai trouvé que 3 ou 4 qui m’ont donné satisfaction à plus de 97%. II s’agit, notamment, de Viriliz fort+ pour les hommes et de Féminiz + pour les femmes, parce que les femmes, aussi, ont des pannes sexuelles, mais qui ne se voient pas du fait qu’une femme peut simuler le désir, le plaisir, l’orgasme et que rares sont les femmes qui ont un clitoris de 5 ou 6 cm de long et gros comme l’index, par exemple. Mais, en clientèle journalière, je puis affirmer que nombreuses (encore plus nombreuses que les hommes) sont les femmes qui souffrent de pannes sexuelles (absence de désir, de plaisir, d’orgasme), mais elles n’en parlent pas (ou pas souvent, hélas), par fausse pudeur, ce qui les empêche de s’épanouir, de vibrer, de vivre pleinement, d’être rayonnantes et heureuses. Bien des surcharges résiduelles, dites pondérales, sont étayées par une telle carence.
On parle volontiers des pannes sexuelles masculines. On ferait bien, également, de parler des pannes sexuelles féminines.
Chez l’homme, la panne sexuelle totale se caractérise par une absence totale d’érection, même d’érections nocturne et matinale. Elle n’affecte que 6%, environ, des hommes, ce qui est, déjà, un grand pourcentage. II s’agit là d’une pathologie caractérisée, d’origine psychorganique, dont les examens organiques classiques ne révèlent, souvent, rien d’anormal, a priori, sauf chez les sujets d’un certain âge.
L’érection est la récompense que se donne un sujet ayant su conserver ou cultiver un degré de vitalité psycho-biologique suffisant. C’est, toujours, à ce niveau qu’il faut agir pour résoudre le problème des pannes sexuelles. Bien entendu, on peut, aussi, traiter ces types de sujets sous (auto-) hypnose, mais toujours sur la base des techniques naturopathiques précitées, qui visent à supprimer la cause première des pannes sexuelles.
Enfin, il faut, aussi, rechercher tous les facteurs d’inhibition, de stress, de disparition du désir, de l’effondrement de la libido. L’homme peut être sexuellement en panne avec un certain type de femmes et être un quart d’heure avant ou après sexuellement hyper performant avec un autre type de femmes. Et vice versa pour la femme.
Les femmes ont une grande part de responsabilité dans les pannes sexuelles masculines comme les hommes en ont dans les pannes sexuelles féminines.
Retenons que l’érection du clitoris procède du même mécanisme psychorganique que l’érection du pénis. L’érection se produit chez les deux sexes et n’est pas l’apanage de l’homme, seulement.En guise de conclusion, on peut dire que, pour entrer en érection, il faut être en bonne santé, avoir de l’énergie à revendre, être mentalement disponible et avoir une partenaire excitante, une grande affinité avec elle. Ceci est également valable, évidemment, pour la femme vis-à-vis de son partenaire.
(1) La Bible du Succès ou comment se faire une vie heureuse à l’abri des maladies et des soucis pécunaires, en 33 leçons inédites, accessibles à tous. Editions Série Radieuse