Il est parfaitement possible de passer un bon hiver, à l’abri des aléas de la saison froide, propice aux maladies respiratoires et oto-rhino-pharingée, à condition de respecter les règles d’hygiène vitale, interne, peu connue du grand public et des médecins allopathes.
Inutilité des antibiotiques dans les affections à virus
Les antibiotiques n’ont aucun effet sur les virus qui accompagnent la plupart des maladies dites infectieuses. Et, en outres, ils entraînent des effets secondaires graves, notamment une destruction de la faune microbienne physiologique de l’intestin. L’intestin peut contenir 2 à 5 kilos de microbes selon que la personne vide ou ne vide pas totalement son intestin chaque jour à l’aide de 3 selles abondantes.
Véritable cause du microbisme
Depuis PASTEUR, ceux qui vendent des vaccins et des antibiotiques, notamment, on fait croire et continuent de faire croire au grand public, ignorant de bonne foi, que le microbe d’origine externe est la cause des maladies infectieuses, des plus bénignes aux plus graves, et que pour s’en protéger il faut se faire vacciner et qu’en cas d’infections déclarées il faut recourir aux antibiotiques, voire aux « antiviraux » ( ? ).
La vérité est tout autre : le réservoir à microbe (virus, bactéries, etc.) est l’intestin de l’homme lui-même. Les microbes que l’on trouve dans l’organisme humain ne sont pas la cause mais l’effet des maladies. Ils prennent naissance au sein des matières en fermentation et en putréfaction, qui stagnent dans l’intestin de ceux qui ne vidangent pas leur moteur intestinal tous les jours, avec 3 grosses selles. Ces microbes ne prolifèrent que sur des terrains organiques dévitalisés, qui vibrent à leur diapason. En fait, il n’existe pas de microbes « pathogènes » mais seulement des terrains organiques altérés par la mauvaise hygiène interne des malades. C’est ce terrain altéré qui est étio-morbido-pathogène (infectieux), c’est-à-dire cause du microbisme. Le microbe, lui, n’est dominé que par son trophisme. Il ne dévore que les terrains morbides (malsains, pollués, intoxiqués, dévitalisés). En fait, c’est un éboueur, un mangeur de crasses humorales et tissulaires. Il nettoie le terrain. Il est heureux que les antibiotiques ne soient que des bactério-statiques, des substances qui paralysent l’activité des microbes, car s’ils étaient vraiment antibiotiques ils provoqueraient une lyse microbienne qui aurait pour effet de libérer, dans les liquides humoraux, les toxines microbiennes aux effets secondaires redoutables à cause de leur extrême toxicité.
Le microbe n’est pas la cause de l’infection
Le microbe n’est qu’un effet, un opportuniste. C’est la maladie, la morbidité du terrain organique qui fait le microbe, comme c’est la mort qui fait les vers de cadavres, comme c’est le marécage qui fait les moustiques. On peut dire que nos maladies infectieuses sont microbiennes (ou virales) mais qu’aucune n’est d’origine microbienne (ou virale).
Lutter contre un microbe ou un virus (effet), c’est vouloir arrêter un homme en marchant sur son ombre (Biologiste P.V MARCHES SEAU). Le microbe n’est pas la cause de la maladie infectieuse. Celle-ci doit être recherchée essentiellement dans la nutrition anti-spécifique et dénaturée qui a permis au microbe de s’installer et de proliférer. Toute vraie médecine doit viser à corriger le terrain (psychorganique) en corrigeant, à la fois, les distorsions mentales (sentiments négatifs habituels) et les distorsions nutrimentaires et comportementales.
« Si la théorie microbienne était exacte, écrit le Docteur SCHWING cité par le Biologiste P.V . MARCHESSEAU, que devrait-il arriver à la mort du malade ? 3. Les globules blancs, les défenseurs de la place étant foudroyés, les microbes ne trouvant plus d’obstacle devant eux devraient pulluler et remplir tout l’organisme. Or, il n’en est rien. C’est même le contraire qui a lieu. Aussitôt le malade mort, les microbes diminuent et disparaissent totalement. Et celui qui examine le cadavre voit apparaître, à leur place, d’autres microbes, ceux de la putréfaction. Et, fait bien décisif, ces nouveaux microbes, substitués au premiers, n’ont pas été introduit du dehors : ils s’y sont produits d’eux-mêmes, rien que parce que le milieu (intérieur ou humoral) a changé. Ce qui prouve que c’est uniquement le milieu qui fait le microbe, et non pas le microbe qui fait le milieu. A tout moment, dans l’intérieur de l’économie, dans les organes, spontanément, il peut se produire des microbes par autogène, au dépens du plasma et de ses granulations. Les microbes, quelle qu’en soit la forme, ne sont pas autre chose que des éléments histologiques. Ce sont de vraies cellules, libres, indépendantes, souvent mobiles. Cette ridicule théorie d’après laquelle le microbe serait la pièce maîtresse, la cheville ouvrière, la cause initiale et indispensable, sine qua non, dans la genèse et le développement des maladies infectieuses, n’a que trop duré !..C’est une mauvaise plaisanterie. C’est le contre-pied des faits, un défi au bon sens. C’est le monde à l’envers. Autant dire que l’enfant crée le père ».
Pourtant PASTEUR, l’inventeur de la théorie des microbes exogènes cause des maladies infectieuses, aurait bien dit au Professeur RENON qui le veillait durant sa dernière maladie : « RENON, c’est BERNARD (Claude BERNARD) qui avait raison ; le germe microbien n’est rien. C’est le terrain organique qui est tout » (Docteur A.-I. MOSSERI)
Que n’a-t-on suivi PASTEUR dans cette idée aussi ?
Se prendre en charge pour préserver sa santé naturelle
Les gens sont responsables de ce qu’ils pensent, des sentiments (positifs ou négatifs) qu’ils suscitent en eux et, donc, de leur comportement existentiel. Ils sont, donc, responsables de ce qu’ils introduisent dans leur corps physiques (boissons, aliments, alcool, tabac, médicament, vaccins, etc.), donc responsable de la pollution (ou de la pureté) de leurs liquides humoraux physiologiques (sang + lymphe, notamment), véritables bouillons interne de culture cellulaire.
C’est par l’hygiène interne, psycho-biologique (à la fois mentale et organique), que l’on peut espérer entretenir ou retrouver la santé naturelle, que l’on peut préserver ou accroître ses immunités naturelles primitives, qui sont avant tout d’ordre quantique, bio-électromagnétique.
Le fait qu’un individu développe des anticorps antigéniques, plus ou moins spécifiques, à la suite d’une pollution humorale, prouve qu’il est, déjà, dans un état pathologique. La médecine dite préventive par les vaccins induisant la production d’anticorps antigéniques (anti-microbiens) n’a rien de préventif. La véritable prévention, ignorée des médecins allopathes (chimio-thérapeutes), se situe bien avant la production d’anticorps anti-géniques, au niveau de la radio-vitalité. Et la radio-vitalité (le champ radiant vital auto-guérisseur) ne peut-être développé que par une hygiène vitale active, celle des profondeurs, c’est-à-dire par la vraie Naturopathie, ignorée de la majorité des « naturopathes » (et des allopathes) actuels.
Ce qu’il convient de faire pour passer un bon hiver
1) Apprendre à penser positivement, à transmuer ses sentiments négatifs (étio-morbido-pathogène) en sentiments positifs (étio-hygiéno-vitalogène), comme nous l’a appris le Professeur G. JAUVAIS, (médecin-biologiste-psychologue-naturopathe), le Père de la vraie Naturopathie, psychorganique. Les médecins et les gens n’ont aucune idée des oxydations bio-électroniques (dévitalisantes) induites massivement par les sentiments négatifs.
2) Manger et boire ortho-biologiquement (alimentation spécifique et naturel), donc suppression de tout aliment cuit et anti-spécifiques comme les produits laitiers (sous toute leur forme) et les farineux (gâteaux, pain, pâtes, riz, pomme de terre et autres céréales et légumineuses). L’humain ne peut digérer et assimiler correctement que le lait de femme. Il n’a pas les enzymes digestives pour digérer et assimiler correctement les éléments fournis par les laits animaux, en particulier les protéines, qui sont allergisantes, pour lui. Et leur calcium, qu’il ne peut assimiler, participe à sa décalcification. Il ne peut, pas non plus, digérer et assimiler correctement les molécules d’amidon des féculents et des légumineuses (haricots secs, lentilles, pois, etc.), forcément bloquées par la température de cuisson qui les dé-ionise, ce qui laisse séjourner dans l’intestin plus de 95% d’amidon fermentescible, qui est transformé en alcool. L’alcoolisme par les farineux est, généralement, ignorée par les médecins allopathes et homéopathes et par les pseudo-naturopathes et autre diététicien diplômés d’Etat.
Produits laitiers animaux, farineux et sucre blanc sont les trois grands poisons pour l’humain à éliminer radicalement de son alimentation, comme nous l’a appris le Professeur P.V. MARCHESSEAU (médecin-biologiste-naturopathe).
3) Prendre l’habitude de vider totalement son intestin, chaque jour, à l’aide de trois belles selles. Et décalaminer son moteur intestinal (comme on décalamine un moteur d’automobile) sinon une fois par semaine, tout au moins une fois tous les 15 jours, à l’aide d’un nutriment spécial liquide riche en jus de radis noir et de pruneaux, notamment, qui dynamise l’activité normale de l’intestin, ce qui favorise, conséquemment, le transit et l’expulsion des matières fécales, toxiques, dont la stagnation est à l’origine d’une intoxication (pollution) humorale, donc organique, par le fait qu’une partie des poisons intestinaux passe dans le sang du fait de la porosité de l’intestin causées par divers facteurs étio-morbido-pathogènes (certains médicaments, alcool, tabac, drogues..), par une alimentation anti-spécifique et dénaturée, habituelle, et par certaines pratiques pseudo-naturopathiques comme l’aromathérapie classique, appliquée par voie buccale, qui entraîne de véritables infarctus mésentériques, cause d’infections chroniques, comme l’ont démontré les travaux effectués sur le rat WISTAR par le Professeur G. JAUVAIS, inventeur (à cause de ceci) de la Vitaromathérapie : aromathérapie vitale par les Huiles Essentielles bio-disponibilisées, c’est-à-dire rendues assimilables et détoxifiées par hydro-solubilisation ortho-biologique (rien que eau et Huiles Essentielles).
4) Supplémenter l’alimentation avec des compléments nutritionnels spécifiques, à base de substances végétales crues, sous forme liquide, biologiquement stabilisées avec des Huiles Essentielles bio-disponibilisées, qui augmentent fortement leurs activités biologiques et, par conséquent, la vitalité générale. On connaît, en effet, les propriétés antiseptiques et anti-putrides des aromates crus, qui doivent être introduits systématiquement dans tous les repas riches en protides animaux (viandes, poissons, oeufs). Ce caractère anti-putride se retrouve, également, dans les huiles Essentielles bio-disponibilisées.
5) Supplémenter les boissons d’hygiène avec quelques gouttes de ces Huiles Essentielles bio-disponibilisées, pour accroître la vitalité des agents auto-défensifs de l’organisme.
6) Prendre l’habitude, tous les soirs, avant de se coucher pour dormir, de se frictionner le ventre et la région hépatique avec un lait dermique 100% dépourvu de substances chimiques, riche en Huiles Essentielles spécifiques, bio-disponibilisées, dont le champ radiant, bio-électromagnétique, traverse la peau, s’enfonçant jusque dans les organes digestifs pour les vitaliser et les aider à s’épurer.
Ne jamais oublier que les poisons intestinaux qui ont passé dans le sang sont éliminés, notamment, par les poumons et les bronches, qu’ils altèrent, favorisant, ainsi, l’implantation des microbes endogènes et exogènes et, conséquemment, les infections respiratoires.
7) Eliminer le stress oxydatif résultant des conflits psychologiques de toutes sortes (contrariété, colère, haine, rancune, soucis inutiles, etc.). Il existe, actuellement, dans le commerce (pharmacie, maison de régime, biocoop, etc.), un nutriment antistress 100% naturel, vraiment magique, qui aide à retrouver sa sérénité en quelques minutes seulement. Il aide, également, à se mettre en vagotonie et à induire un sommeil de plomb, hautement réparateur.
8°) Prendre également l’habitude de pratiquer, chaque jour, 45 à 75 minutes de culture physique de santé à base respiratoire et transpirante. Cette gymnastique des organes, inventée par Eugène SANDOW (l’anglais) et vulgarisée par Edmond DESBONNET (le français) au début du 20eme siècle, est une nécessité Vitale pour se bien porter (bonne vascularisation, bonne oxygénation) et, donc, pour passer un bon hiver.
9) Enfin, pour ceux qui ont de réels problèmes psychologiques, je leur conseille la repositivation mentale et/ou l’ortho-psychothérapie appliquée sous (auto) hypnose, qui donne des résultats positifs étonnant chez ceux qui lâchent prise et qui s’identifient totalement et émotionnellement au contenu du verbe positif (des hétéro-suggestions adaptées à leur cas particulier après une psycho-analyse naturopathique poussée, la psycho-analyse naturopathique n’ayant rien à voir, évidemment, avec la psychanalyse freudienne).
Quiconque pense, boit, mange et vit (se comporte) rectement, conformément au Code de la Vie ne peut tomber malade. L’Etre vivant n’attrape pas une maladie, il se la fabrique par ses comportements psychorganiques anti-vitaux. Elle est la conséquence de la désobéissance au Code de la Vie (aux lois vitales) qui nous régit inexorablement, qu’on l’admette ou pas.
Ou peut-on se procurer des Huiles Essentielles spécifiques, bio-disponibilisées?
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