Le stress n’est pas une maladie mais une réaction de défense de l’organisme contre un ou des facteurs agressifs (stressants) d’origine interne (psychologique) et/ou externe (environnementale, aliments anti-spécifiques et dénaturés, boissons frelatées, overtoniens, drogues, médicaments toxiques, bruit, surmenage, sédentarité, températures climatiques trop chaudes ou trop froides, coups, blessures, pollutions diverses, tabac, alcool, etc.)

Cette réaction, normale pour tenter de compenser, use les énergies nerveuses (la force vitale) indispensables au bon fonctionnement de nos organes, pour bien assimiler et pour bien éliminer nos poisons organiques dont l’accumulation dans les liquides humoraux physiologiques (sang + lymphe, notamment) est la cause déclenchante de nos maladies (qui ne sont que des réactions idiosyncrasiques d’élimination de cette pollution humorale). Un organisme stressé fonctionne en dépensivité vitale, qui se traduit par des oxydations cellulaires, le vieillissement, des altérations morphologiques et des pathologies diverses.

Le stress des hommes préhistoriques, qui devaient vivre sur le qui-vive de peur d’être dévorés par les bêtes sauvages, n’avait rien à voir avec le stress de nos jours. Ils récupéraient vite l’énergie usée parce qu’ils avaient une vie infiniment plus saine que la nôtre. De plus, ils consommaient peu d’aliments cuits et ignoraient nos aliments anti-spécifiques, notamment. Notre stress est plus important parce qu’il résulte d’une civilisation de brutes, hyper polluante et hyper technicisée, où la compétition commerciale, notamment, s’effectue au couteau, où la désinformation est la règle, où la délinquance et l’insécurité sont partout, où il faut arriver à l’heure au travail, avant la fermeture des magasins, etc. Toutes ces contraintes (agressions) mettent nos nerfs à vif à chaque seconde du jour et, même, de la nuit, et ce d’autant plus que l’on refuse de pratiquer, quotidiennement, une bonne culture physique sudorifique et oxygénante de compensation, qui nous calmerait en mettant à la terre la prise de notre survoltage (hyper sympathicotonie). L’humain oublie ou veut ignorer que les muscles sont les contre-poids, indispensables, des nerfs, que ce sont des réservoirs d’oxygène, des pompes vascularisantes, des agents de métabolisation, de croissance, bref de santé.

La culture physique de santé est une des techniques naturopathiques majeures, les trois autres étant l’ortho-psychothérapie (que j’expliquerai ultérieurement), la phytothérapie et vitaromathérapie et l’ortho-nutrition, c’est-à-dire l’alimentation spécifique et naturelle, dont les plus grands vulgarisateurs, au siècle dernier, ont été les Professeurs P.-V. MARCHESSEAU et Grégoire JAUVAIS.

Oui le stress est nocif et il peut même tuer. C’est une tentative d’adaptation à une situation difficile ou inattendue. Mais cette tentative induit une dévitalisation, un effondrement de notre rendement existentiel, organique, et donc de nos immunités naturelles. C’est cette dévitalisation, accentuée par le fait que nous ingérons des aliments anti-spécifiques et dénaturés (chimification, pasteurisation, cuisson, etc.), qui induit une pollution humorale étiopathogène.

Cette dévitalisation résulte d’un épuisement de nos glandes endocrines, en particulier des surrénales, productrices d’adrénaline, notamment, une hormone qui stimule le système nerveux afin de placer l’organisme dans un état de combativité (augmentation des pulsions cardiaques, de la fréquence respiratoire, de la tension musculaire, de la vigilance, etc.).

Cette mobilisation générale des activités organiques nous aide à faire face à un stress ; mais, si elle persiste dans le temps ou si elle se répète souvent, l’organisme, débordé, finit par s’épuiser, ce qui se traduit par la constitution de carences doublées d’une morbidité humorale, étiopathogène.

Comment éliminer le stress ?

1) En éliminant l’anxiété, les contrariétés, l’hyper-émotivité, l’insomnie, en adoptant une attitude mentale positive (ortho-psychothérapie) de tous les instants, qui consiste à transformer un sentiment négatif par un sentiment contraire, positif. Exemple : le refus d’une corvée par son acceptation dans la joie et la bonne humeur. C’est le fameux lâcher-prise, qui consiste à abandonner ses fausses croyances, ses préjugés, sa paresse, ses refus à priori, son étroitesse ou petitesse d’esprit, ses faux amours, ses faux besoins (paix aux humains de bonne volonté, disait un Sage en son temps).

2) Adopter une alimentation spécifique et naturelle (crue), très énergisante sous un faible volume, en maintenant présent à l’esprit le fait que tout aliment cuit dévitalise ceux qui l’ingèrent.

3) Supplémenter quotidiennement sa ration alimentaire avec des nutriments spéciaux, tels que, par exemple, le Strong Vitality (pour se défatiguer, se dynamiser), l’Effastress (pour se relaxer et être cool en moins de 30 minutes ou, encore, pour dormir profondément ; seul le sommeil profond permet de récupérer un maximum de force vitale, de vitalité, de dynamisme, de bonne humeur).

4) Culture physique musclante, oxygénante, sudorifique (physio-musculation ou gymnastique des organes), chaque jour, durant 45 à 60 minutes, avec 2 jours de repos, intercalés, par semaine.

5) Bains chauds (38-40°), aux huiles essentielles bio-disponibilisées (très relaxantes et hyper-énergisantes), une ou deux fois par semaine, durant 30 à 45 minutes.

6) Massages relaxants aux Huiles Essentielles bio-disponibilisées relaxantes, qui permettent de se déconnecter, de lâcher prise, de mieux éliminer les poisons organiques et, donc, de mincir physiologiquement, en augmentant son tonus. Toutes ces techniques que j’ai indiquées ici sont de la Naturopathie (de la vraie médecine de santé psycho-biologique). Elles permettent de ne pas recourir aux tranquillisants ou aux antidépresseurs à effets secondaires nuisibles.