L’hypnose n’est pas un trafic d’influence, comme le croient les ignorants, parce que l’hypnose n’existe pas. Il n’y a que de l'(auto-)hypnose induite par auto-suggestion ou par héréro-suggestion. C’est le sujet lui-même qui s’auto-hypnotise en s’identifiant au contenu de l’idée auto-suggérée (générée par soi-même) ou hétéro-suggérée (émise par autrui). L'(auto-) hypnose permet l’auto-intro-suggestion auto-suggérée ou hétéro-suggérée. Sans elle, l’Être vivant ne pourrait rien apprendre. C’est, en effet, elle qui permet d’intégrer en soi et d’assimiler une idée, une pensée, un concept, bref un contenu informationnel. Elle est le zapper (la télécommande) de l’Être, qui lui permet de changer de fréquence vibratoire, donc d’idée, de pensée, de sentiment. C’est elle qui fait fusionner la croyance-imaginative (générée par le conscient) avec l’émotion d’origine subconscientielle. Sans cette fusion, l’Être ne pourrait pas susciter en lui des sentiments (positifs ou négatifs). Or, ce sont les sentiments qui programment notre Subconscient, élément réactionnel, centrifuge, exprimant, concrétisant, de notre Penser holistique, comme nous l’a appris le Professeur Grégoire JAUVAIS, découvreur de l’« anatomophysiologie » du Penser holistique, qui est constitué de deux éléments identiques mais inversement fonctionnels, d’un Conscient et d’un Subconscient, le premier étant l’élément actionnel, centripète, imprimant, pronaturant ou programmant de notre Penser holistique. Étant un attribut naturel et normal de notre Penser holistique, l'(auto-)hypnose est totalement sans danger. Il permet de passer d’un état mental extériorisé à un état mental intériorisé. Et c’est parce qu’il permet ce processus qu’il permet de s’auto-programmer et, aussi, de s’auto-déprogrammer, d’éliminer ses mauvaises idées, ses mauvais sentiments étio-morbido-pathogènes (cause de blocages bio-énergétiques et de maladies non accidentelles). Ceux qui ignorent le mécanisme du Penser holistique affirment que l'(auto-) hypnose est un état entre veille et sommeil. Rien n’est plus faux. Loin d’être un sommeil, l'(auto-) hypnose est, au contraire, un état d’hyper-lucidité, d’hyper-conscience, mais intériorisé, presque totalement coupé du monde extérieur. Sans cet attribut merveilleux, l’Être ne pourrait pas se mettre en état vagotonique, en phase d’élimination de ses poisons psychorganiques. Il demeurerait en hyper-sympathicotonie, ne pourrait plus digérer, assimiler et éliminer ni même dormir profondément, récupérer des énergies. Il serait en oxydation bio-électronique permanente, en usure vitale et mourrait en peu de temps. En raison de cette hyper-conscience (intériorisée), personne ne peut violer l’intimité de l’auto-hypnotisé.

Expérimentalement, toutes les tentatives de viol sous (auto-) hypnose ont systématiquement échouées : l’Être, contrarié par ce qui lui est dit, sort spontanément de son intériorité et revient aussitôt à son état extériorisé, rompant ainsi cet état d’intériorisation appelé, à tort, transe. Les sujets les plus (auto-) hypnotisables sont ceux qui savent facilement s’identifier au contenu d’une idée, d’un récit, d’un événement, auto ou hétéro suggéré. L’état (auto-) hypnotique est un état permanent. Lorsque vous riez ou pleurez ou hurlez devant un événement amusant ou dramatique ou douloureux ou joyeux vous êtes en état (auto-) hypnotique. Bien entendu, il y a des degrés de profondeur (auto-) hypnotique, qui traduit la profondeur de l’intériorisation. On dit de ces sujets facilement (auto-) hypnotisables qu’ils sont réceptifs. C’est faux. Ils ne sont réceptifs qu’à ce qu’ils croient, qu’à ceux qu’ils aiment, mais pas à ce à quoi ils ne croient pas ou qu’ils n’aiment pas. Ce sont ces « réceptifs » qui obtiennent de rapides résultats positifs lorsqu’ils acceptent de se soumettre à une orthopsychothérapie sous (auto-) hypnose. Ce n’est jamais l’état (auto-) hypnotique qui est dangereux mais les mots négatifs auto-introsuggérés par soi-même à la suite de ses propres idées négatives et fausses croyances ou à la suite d’idées négatives suggérée par autrui. L’Être est toujours le résultat de ce qu’il croit, non de ce qu’il veut. Or, il croit comme il aime. Ce sont ses amours qui forgent ses croyances (vraies ou fausses), ses auto-intro-suggestions, lesquelles le programment et forgent son destin, qui sera heureux ou malheureux selon qu’elles sont vitalement rectes (conformes au Code de la Vie) ou non rectes, non conformes au Code de la Vie (lois vitales) qui gouvernent inexorablement le psychologique ou le biologique.